L'interview de Noël de Marcel Javaux

Marcel Javaux, le président du CP Luxembourg, aime les fêtes de fin d’année.

Bonjour Marcel, êtes-vous content d'arriver aux fêtes de fin d'année ?

D'une façon, oui. Parce que c'est la plus belle période de l'année. Mais d'une autre, non, parce que cela veut dire que l'on a pris un an de plus.

Quand on demande aux gens ce qu’ils font aux fêtes de fin d’année, il y a ceux qui ne savent jamais et ceux qui savent, depuis longtemps, où ils seront le 24 et le 31. Vous êtes dans quel camp ?

Je sais où je serai les 24 et 31. Tant que nous aurons la chance d’avoir notre maman, le Réveillon de Noël se fera toujours chez elle. Nous nous retrouvons, les quatre frères Javaux, avec nos épouses et la plupart des enfants. Nous serons donc 18 autour de la table à Villance. Chacun s’occupe d’une partie du repas. J’ai un frère qui aime le foie gras et qui, de plus, est un œnologue averti et proposera le vin en accompagnement. Moi, je me chargerai de préparer une entrée. Mon autre frère se chargera de l’apéro et des zakouskis. Philippe, qui est boulanger, s’occupera des accompagnements, du pain brioché, de la bûche de Noël. Maman achètera deux dindes farcies.

Que vous inspire cette période de l'année ?

En tant que croyant, pratiquant, la fête de Noël est particulièrement attendue. C’est la plus belle fête de la communauté chrétienne. De plus, le Réveillon de Noël est la soirée du partage par excellence. J’attache beaucoup d’importance à ces deux valeurs : le partage et la famille.

Et la Saint-Sylvestre ?

Je la passerai chez mon filleul qui est chef au resto le Fief de Liboichant à Chairière. J’y serai en compagnie de ma fille, de mon beau-fils et d'amis vendéens. Ce sera une soirée alliant la gastronomie et la fête. Champagne, cotillons, disc-jockey, braseros sur la terrasse, … De quoi faire la fête toute la nuit !

La fête toute la nuit ?

Ce n’est pas impossible que je tienne le coup jusqu’à quatre ou cinq heures du matin !

Qu'est-ce que vous appréciez sur la table des fêtes ?

Tout le monde sait que je suis un épicurien. J’aime les bons produits. Dans mon verre, lors des fêtes, j’apprécie le champagne. Avec modération, bien sûr !

Que retenez-vous de l'année 2013 ?

L'éclosion de l'équipe nationale. Je n’ai raté aucune rencontre. J’ai notamment vécu Croatie-Belgique à Libramont. Sportivement, la qualification de notre équipe nationale restera l’événement de l’année.

Dans l'actualité internationale, qu'est-ce qui vous a marqué ?

La disparation de Nelson Mandela.

Que souhaitez-vous, à titre personnel, pour 2014 ?

Pouvoir assumer mes responsabilités au niveau du foot provincial. Nous sommes à la veille d’une réforme très importante. Je souhaite qu’elle se passe en douceur, sans trop de grincements de dents. J’aimerais qu’elle prouve, dans les 24 mois à venir, que c’était une bonne décision dans l’intérêt des clubs et surtout des bénévoles.

Et pour les autres ?

Amour, santé et prospérité.

Avez-vous pris de bonnes résolutions ?

On pense toujours avoir pris les meilleures des résolutions mais l'avenir nous dira ce qu'il en est réellement. J’ai repris la marche depuis un mois. Je vais essayer de m’y tenir, c’est important pour ma santé. Je veux continuer en 2014. Je dois trouve le courage et la volonté de le faire.

Où prendrez-vous le premier apéro de l’année 2014 ?

Chez maman. Avec les frangins, nous nous retrouverons chez elle le 1er janvier vers 13h00.