Le carnet de voyage de Romain Duvivier - Acte 6

Buenos dias los belgas,
Arriba… PEROU !

Avant d’atterrir en Amérique latine, j’ai eu la chance de parcourir le Costa Rica et le Nicaragua, deux pays voisins mais au combien différents… Mais maintenant, revenons-en à nos moutons, enfin plutôt à nos lamas, car c’est bien du Pérou que je vous salue.

Ce pays, baptisé « terre de contrastes », m’offre encore bien des découvertes inédites. Dans cette merveille de la nature se côtoient des pics coiffés de neige, des dunes géantes, la jungle amazonienne, etc. Bref, des paysages dignes de carte postale !

C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai pu découvrir deux petits bijoux du pays.
D’abord, le lac Titicaca. Considéré comme le cœur de l’Amérique latine, il est une sorte de mer intérieure nichée dans les montagnes. Sur une île au milieu de ce lac le plus haut du monde, je me suis senti à la fois minuscule et reconnaissant envers « Pachamama », notre Terre-Mère.
Ensuite, le clou de ce séjour péruvien fût sans aucun doute l’ancienne cité Inca du Machu Picchu qui envoûte tout voyageur par sa magie naturelle. Cet endroit phare du Pérou est en plus doté d’une situation géographique spectaculaire. Un grand moment…

D’un point de vue culinaire (point crucial à mes yeux !), chaque recoin du pays possède sa spécialité dont les ingrédients vont du steak d’alpaga au… cochon d’Inde ! Ce dernier plat andin partage la vedette avec les variétés les plus rares de pommes de terre. Pour votre gouverne, chers compatriotes, notre bonne vielle crompire est originaire des Andes. Du côté des breuvages, c’est le cocktail national, nommé « Pisco », qui a été une révélation. A première vue, il a l’air inoffensif mais je peux vous assurer qu’il est plutôt traître et addictif !

Avant de vous quitter, juste une petite parenthèse pour féliciter les Longolards pour leur sacre et les nombreux joueurs qui ont décroché une promotion footballistique (avec une pensée particulière à Florian Burnotte, l’enfant spirou).

Bon, hasta luego pour de nouvelles aventures sur le sol sud-américain.
D’ici là, prenez soin de vous et « suerte » pour reprendre une expression bien locale. Quant à moi, il me reste 2 mois de jogging dans les montagnes andines et dans les vignes argentines pour retrouver la forme avant la reprise en vert et blanc.

Romain.

PS : Amigos sartois, il est temps de se ressaisir pour ne pas tout gâcher… N’oubliez pas, bons ardennais, que « l’union fait la force » !